• noël des enfants hospitalisés, un petit click ?

     

     

    bonjour à toutes et à tous,

    ce site de Noël MAGIQUE est vraiment unique.
    Gratuit, et depuis 6 ans il permet de couvrir de joujoux et de mots doux,
    les enfants qui vont passer Noël à l'hôpital.

    On a jusqu'au 24 décembre pour rassembler 25.000 votes,
    et amener les sponsors du site à offrir 25.000 € de joujoux aux enfants.
    Je viens de le faire... suivez-moi.

    C'est bientôt Noël, c'est gratuit et c'est vraiment utile :
    est-ce que je peux compter sur deux minutes de ton temps pour eux ?
    C'est ici www.messages-de-noel.net

    merci et surtout merci les enfants

    https://www.good-4you.net/avec/good-4you/noel-magique/vote

     

    marithé happy


  • Commentaires

    49
    Jeudi 31 Décembre 2015 à 11:20

    Hello Marithé

    Bizz

    Pat

    48
    Jeudi 31 Décembre 2015 à 10:02

    ce soir nous faisons

    soirée pyjama.

    hihihihi

    Bises Marithénounette.

    47
    Jeudi 31 Décembre 2015 à 07:09



    Bon jeudi, Marithé !

    ╔═════════ ೋღ❤ღೋ ═════════╗
    ೋ ❤❤❤ Bonne fin d'année 2015 ❤❤❤ ೋ
    ╚═════════ ೋღ❤ღೋ ═════════╝
    ♥ Bisoux ♥
    Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ dom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

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      Commentaire :


    46
    Jeudi 31 Décembre 2015 à 07:05

    je penserai à toi ce soir, je t'embrasse avec tendresse. et mes voeux de ce que tu désires pour 2016. bise douce

    45
    Mercredi 30 Décembre 2015 à 09:45

    je teste mes pétards.

    Bises Marithénounette.

    44
    Mercredi 30 Décembre 2015 à 07:17

    Bon mercredi et bonne fin de semaine !
    ♥ Bisoux ♥

    Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ dom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

    43
    Mardi 29 Décembre 2015 à 11:26

    On est là.

    hihihi

    Bises Marithénounette.

    42
    Lundi 28 Décembre 2015 à 07:03

    Bon début de semaine, en attendant l'année prochaine ...
    ♥ Bisoux ♥

    Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ dom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

    41
    ✿◠‿◠)❤•♥..........
    Samedi 26 Décembre 2015 à 17:21

    très bonne soirée..........

    2016 approche à grands pas....

    40
    Vendredi 25 Décembre 2015 à 07:06

    Bonjour, Marithé
    Je te souhaite un

    ╔═════════ ೋღ❤ღೋ ═════════╗
    ೋ       ❤❤❤ JOYEUX NOEL ❤❤❤      ೋ
    ╚═════════ ೋღ❤ღೋ ═════════╝
    ♥ Bisoux ♥
    Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ dom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

    39
    Jeudi 24 Décembre 2015 à 11:14

    BON NOEL

     

    Cara amiga, Car amic, Marithé

    Une année s'achève avec cette période des fêtes en famille (lou temp de Calèna) et vous êtes toujours fidèles à mon site. Je tiens à vous en remercier, car, sans vous, je n’aurai pas pu progresser et être motiver comme je l’ai fait. Que de chemin parcouru depuis la création du site « Free Riders du 06 » avec tous les évènements que je vous ai fait découvrir. Les Promenades à travers le Pays Niçois... de la Préhistoire à nos jours, les balades dans mes vallées de la Countéa de Nissa. je peux vous annoncer que l’année 2016 verra le 10e anniversaire de mon blog. Pour l'heure, il me reste à vous présenter les vœux de mon site et les miens: "Bouòni Calèna e à l'an que ven »

     

    VOICI POUR VOUS UN CONTE DE NOEL

    Veillées dans nos vallées du pays niçois» (Vèiada en lou  nouòstri valada dou  pais nissart)

     

    C’était un de ces pays de montagne, adossé à mi- pente, au fin fond d’une vallée, sur une terre ingrate, une sorte d’ilot au milieu d’éboulis secs et de de roubines noires. Un petit hameau, auquel aucun Saint n’avait donné son nom, on en avait gardé le nom du lieu dit : « Despera » (*1)

    Personne n’osait trop s’aventurer vers là haut, on disait que les habitants étaient méchants comme la teigne et laids comme des boucs. 

    On disait que l’hiver, il y gelait à pierre fendre. Que la terre y était trop dure pour y creuser le sol et que quand quelqu’un y mourrait, on le hissait en haut d’un arbre, parce que congelé, ni les corbeaux, ni les renards n’iraient en emporter des bouts. 

    On disait qu’ils ne ressortaient de leurs tannes, fin avril sentant le rance et l’urine, le visage noir de suie, les ongles comme des griffes, et qu’ils se livraient alors à un rite particulier, ils se lavaient tous les uns avec les autres dans le lavoir et ensuite dansaient mi- nu autour d’un feu dans lequel ils brûlaient leurs vêtements et leurs paillasses pleines de vermine. 

    On disait aussi, qu’ils étaient plus ou moins tous cousins consanguins par là-haut, à force de dormir l’hiver sur la même paillasse et sous les mêmes peaux de mouton 

    Et on disait…Et on disait…

    Et on disait, le soir, autour du feu pour se donner le frison de la peur. 

    Il y avait une chapelle à Despera, mais le curé du canton n’y montait plus sinon pour la messe des morts, et relever le registre des naissances et des mariages « civils », souvent raturé que tenait un « Desperadois » qui savait tout juste écrire. 

    Pour cela, ce brave curé, se tapait quatre heures de marche par un mauvais chemin. 

    Il se faisait escorter par le bedeau et son frère armé d’un solide gourdin, car la fois où il était monté tout seul, il avait trouvé, des cochons et des poules dans l’église. Voulant mettre dehors tout ce petit monde et en trouver les propriétaires pour leur faire nettoyer les lieux, il fut violemment conspué.`

    Bref, des sauvages et des barbares dégénérés, que l’on évitait soigneusement.

    Il se passa, néanmoins, un heureux évènement cette année là, en Novembre, madame Ginola pour l’état civil, mit au monde son onzième enfant. C’était une fille, avait dit la mère Gobi, qui faisait office de sage-femme et d’accoucheuse pour les vaches. Elle l’empaqueta dans des linges plutôt propres et la remit à sa mère. Celle ci la regarda , et fut rapidement séduite par les grands yeux déjà ouverts et l’esquisse d’un sourire ; le père arriva un peu plus tard, et y jeta un coup d’œil discret, il faut dire qu’ayant sacrément arrosé le temps de la couvade (*2) , il s’affala saoul sur l’autre moitié de la paillasse et se mit à ronfler.

    C’est le lendemain en démaillotant la petite, qu’on se rendit compte. Elle était bossue, n’avait qu’une moitié d’oreille velue et pointue, une main à quatre doigt, une grosse bosse sur l’arrière du crane, un bras plus court que l’autre et un pied bot.

    La femme appela son mari pour lui montrer la chose : « T’as vu ce qui m’est sortie, qu’est ce qu’on va en faire, ce sera une bouche inutile . Elle rapportera jamais rien, il va falloir faire comme avec les autres. »

    Le soir, le père, prit le bébé, et monta au fenil, là où sont accroché les jambons et les poitrines salées, là ou souffle le courant d’air froid qui raffermit les salaisons. Il y déposa l’enfant. 

    – « Va que si elle survit au froid, un coup de mal de poitrine, l’emportera bien dans les jours qui viennent. » Et il repartit…

    Quel ange dans la nuit à la lueur d’une lanterne à bougie, donna un peu de lait d’ânesse à l’enfant, la recouvrit de flanelle, et posa un crucifix sur sa couche, nul ne le saura jamais.

    Le lendemain matin, le père remonta, le bébé était toujours vivant et semblait en forme. Il écouta sa respiration, non elle était normale. Il ramassa le paquet et le redescendit à la mère. 

    – « Je ne comprend pas, ce qui s’est passé. Elle n’aurait pas du… »

    – « La mère lui répondit, forcément tu l’a emmailloté dans de la flanelle, imbécile, il va falloir tout recommencer… »

    Elle défit la flanelle et le crucifix tomba, elle se signa et dit au mari : « Prend un vieux bout de drap , trempe le dans l’eau, emmaillote là dedans et va la remettre là haut, s’il gèle, elle y passera. »

    – Non ! Non ! j’ai vu le crucifix tomber, si quelqu’un l’a baptisée durant la nuit, je finirai aux enfers. C’est un signe de Dieu, il ne faut plus la tuer, il faut la garder, maintenant. »

    Ainsi la peur de l’enfer, sauva l’enfant, mais il existe aussi des enfers sur terre….

    Car la pauvre « Chouaspouneta » (*3) comme on l’appela, aurait peut être, en fin de compte, préféré le paradis des âmes innocentes à la vie au milieu des habitants de Despera.

    Elle fut l’objet des moqueries et de la méchanceté des gens, on la faisait dormir l’été dans la niche du chien et l’hiver à côté de l’auge aux cochons, pour la nourrir, on mettait dans une auge par terre ce qu’avait laissé le chien ou le cochon, voire les poules. Ceux qui passaient le soir ou avant que le jour ne se lève, entendaient les longs sanglots de sa détresse dans sa solitude. 

    Mais chez ces gens-là ! On a de l’honneur, m’sieur dame, on ne se mêle pas des affaires des autres.

    Le pire pour « Chouaspouneta« , était que les autres enfants la fuyaient, elle n’avait pas d’amis, la seule fois où heureuse, elle avait recueilli un loir qu’elle avait apprivoisé, elle eut le tort de le montrer à d’autres enfants. Ils lui arrachèrent le loir et le massacrèrent à coup de pied et à coup de pierre.

    Un jour, un habitant du village, « Smountaco« , descendit vendre quelques peaux de renard, de lapin et de chèvre qu’il avait tanné, à la foire du canton.

    Il en remonta avec un bouc , cinq chevrette et un petit garçon.

    – « Aloura, mestre s’en reven de la fièra ? « (*4)

    – « Ahi, ma sieu pas ségur, d’avé fach un bouon negoci « (*5)

    Et il s’expliqua, bon il avait bien vendu ses peaux, et ça faisait un moment qu’il lorgnait pour s’acheter un nouveau bouc. Là-dessus, il était tombé sur un maquignon un peu gitan, qui lui avait dit : « Tapons là sur le prix du bouc, et je te fais cadeau des chèvres, si tu me débarrasse du gosse. »

    Il avait bu plus qu’un coup , le prix du bouc était intéressant , les chèvres aussi mais qu’allait il faire du gosse. 

    « Tu pourra justement, t’en servir pour garder les chèvres et faire des brandes pour l’hiver. »

    Lui répondit le maquignon.

    C’est le long du chemin, que « Smountaco« , s’aperçu de la démarche du gosse, il boitait, marchait de guingois , et avait une bosse, un bras plus court que l’autre prolongé d’une main à trois doigt seulement. Bon, se dit-il, il sera toujours bon à garder les chèvres.

    – « Aloura , pitchoun, couma ti souna ? » (*6)

    Le gamin, le regarda tristement en secouant la tête de droite à gauche et en haussant les épaule.

    – « Oh, accapes pas? seríes pas balourt o mut, tu ? » (*7)

    – « Ma noun, audi e parli, ma sabi pas coume mi souna , moussu » (*8)

    – « Aloura, te sounarai « Sabi pas« . (*9)

     

    L’arrivée de « Sabi Pas« , changea la vie de « Chouaspouneta« , comme un boqueteau d’herbe dans le noir des roubines qui aurait donné naissance à un bouquet de violettes.

    Moqués, chassés, martyrisés parfois par les autres enfants du village, ils forgèrent une solide amitié, une complicité qui leur permit de survivre.

    « Sabi Pas » avait quatre année de plus que « Chouaspouneta« , et ce qui devait arriver arriva, l’amour se mit à voleter tout autour d’eux.

     

    Lors d’une rare messe pour les morts que tint le curé, ils vinrent le voir.

    – Mon père, nous voudrions nous marier.

    – Mais vous êtes chrétiens et catholique au moins ?

    « Chouaspouneta« , lui montra un petit crucifix : « C’est un ange qui me la donné, au moment ou la mort venait me prendre, je l’ai toujours gardé. »

    Quant à « Sabi Pas« , il sorti du col de son tricot accroché à une chaine un médaillons figurant une madone : « C’est ma mère qui l’a passé autour de mon cou, avant de me jeter par la fenêtre, quand les gens ont mis le feu à notre roulotte. »

    Le prêtre réfléchit: après tout recueillir au sein de la paroisse des âmes pures et innocentes faisait partie de son sacerdoce et du message du christ.

    – « Je vais vous donner ma bénédiction mes enfants, mais je ne veux pas que cet acte reste clandestin, je veux que les gens le sache. Et vos parents sont-ils consentant ? »

    Il regarda la tristesse de leur regard et dit : « Ai accapit, alors on se passera de leur consentement. Bon, vous n’avez pas d’anneau, on prendra de la ficelle, et pour les témoins les anges seront là, ce seront sans doutes les mêmes que la providence vous avait envoyé . »

    Ainsi, le prêtre fit sonner les cloches, et les mariât.

    Il fit résonner les cloches, lorsqu’ils ressortirent de l’église bras dessus, bras dessous.

    Les gens peut habitués à une telle activité carillonnante, en curieux s’étaient massé au bas des marches de l’église. Dés qu’ils les aperçurent, ils se moquèrent, leurs jetèrent des épluchures.

    – Oh que si vous faites des petits gardez moi en on les mettras dans une cage au cirque.

    – Venez voir le mariage des monstres.

    – La nuit de noce va être difficile, faudra un treuil pour les séparer. Tant qu’ils sont mal foutu.

    – Les bosses vont s’entre choquer.

    Ainsi sous les moqueries et les projectiles, « Sabi Pas » et « Chouaspouneta« , fuirent en courant vers la montagne et on ne les revit plus.

    ……..

    Cinquante ans passèrent, il s’en passa des choses à Despera, une route y arrivait, et on avait érigé sur la place du village, un drôle de monument ou figurait des noms, en face, il y avait même une bâtisse neuve ou était marqué Mairie. Sur la place en face de l’église, on avait fait des travaux, il y avait un bar, auberge, restaurant, avec une terrasse sous une tonnelle.

    Un couple de gens, plutôt âgés, mais alertes et élégants virent s’assoir à une table.

    L’aubergiste, ravit d’avoir des clients, s’empressa de venir s’enquérir des commandes.

    – Bonjour madame, bonjour monsieur, que puis-je faire pour vous être agréable ??

    – Ce sera un blanc cassis bien frais pour moi et une limonade citronnée pour ma femme.

    Nous profitons de ce bel été mais cela donne soif.

    A son retour, avec les consommations, l’aubergiste tenta d’engager la conversation :

    – C’est la première fois que vous venez en excursion à Despera.

    – Non, nous y avons même vécu, mais le village a bien changé depuis.

    – Oui surtout depuis la route.

    – Je me rappelle de quelques noms, Firmin, le fils du moulin, Albert de la ferme haute, Henri de la rue basse. Que sont il devenus ?

    – Ils sont au monument au mort chère madame, la guerre, vingt cinq garçons de Despera n’en sont pas revenus.

    – Et la maison des Ginola, elle est toujours là ?

    – Oui, bien sûr, mais entre l’exode rural et la guerre, elle est aujourd’hui abandonnée.

    Mais dites moi, c’est vrai que vous semblez bien connaitre le village et les habitants, c’est quoi votre nom.

    – Notre nom ne vous dira rien , mais le sobriquet dont on nous affublait peut être, on m’appelait « Sabi Pas » et mon épouse avait droit au diminutif de « Chouaspouneta« .

    L’aubergiste les regarda comme des fantômes.

    Et « Chouaspouneta » rajouta : « Nous allons faire un tour dans les environs du village, serait il possible de déjeuner à midi, midi et demi chez vous en terrasse ? ». 

    – Bien, sûr, bien sûr, marmonna décontenancé l’aubergiste.

     

    A midi est demi, la place devant la terrasse de l’auberge était pleine de monde, « Chouaspouneta » et « Sabi Pas« , s’assirent à la table que leur avait richement préparée l’aubergiste. Si le public les dévisageait, eux en faisaient de même, et sinon un air de famille commun, un regard misérable de méchanceté congénitale, ils avaient tous un point commun. D’affreuses rides qui telles des cicatrices leur barraient le visage ou s’accrochaient des verrues grosses et difformes , des bouches édentée, des chevelures scalpées par des plaques de calvitie, des corps rongés par l’arthrose et les rhumatismes qui les torsadaient et leur donnait un air de vieux pantins misérables.

    Alors que malgré leur abondance chevelure blanche, au contraire, « Chouaspouneta » et « Sabi Pas« , resplendissaient de beauté comme s’ils avaient eu tout au plus une trentaine d’années.

    On dit même que lorsqu’il moururent lié par un pacte d’amour à 90 ans, on aurait dit deux adolescents d’une beauté comparable à celle des statue grecques de l’antiquité.

    Et bien oui, roulés dans la méchanceté, ils avaient fait comme les pierres de la montagne, ces pierres sans forme et pleines de reliefs brisants qui, roulées dans le torrent, était devenues des galets, de ceux si lisses et si beaux qu’on les ramasse parfois pour les mettre dans la crèche de Noël. »

     

    (*1) « Despera »: Le désespoir.

    (*2) la couvade : Coutume qui veut que le mari ou le père, réunisse quelques amis, et qu’au bout de nombreuses libations, mime la délivrance.

    (*3) « Chouaspouneta » : petite souillon.

    (*4) « Aloura, mestre s’en reven de la fièra ? » Alors , maître, on s’en revient de la foire ?

    (*5) « Aloura , pitchoun, couma te souna ? » Alors petit comment tu t’appelles ?

    (*6) « Ahi, ma sieu pas ségur, d’avé fach un bouon negoci »: Oui, mais je ne suis pas sur d’avoir fait une bonne affaire.

    (*7) « Oh, accapes pas, seríes pas balourt o mut, tu ?« : Oh, tu ne comprends pas, tu ne serais pas sourd ou muet ?

    (*8) « Ma noun, audi e parli, ma sabi pas coume mi souna , moussu« : Mais, non, j’entends et je parles, mais je ne sais pas comment je m’appelle, monsieur.

    (*9) « Aloura, ti sounaras « Sabi pas« . « : Alors, tu t’appelleras « Je sais pas ».

     

    La morale de cette histoire: si vous êtes « nissart » et que les français vous regardent de haut d’un air méprisant, laissez dire et laissez faire, le temps travaille pour nous. Après cette belle histoire, je vous souhaites à tous: « Bouòni Calèna »

     

    Texte écrit par Barbajohan

     

     

    @+ Pat

    38
    Jeudi 24 Décembre 2015 à 11:02

    Joyeux Noël

    à toi et toute la famille.

    Bisessssssssssssssss Marithénounette.

    37
    Jeudi 24 Décembre 2015 à 07:09

    Bon jeudi et bon réveillon à ceux qui en font un !
    Bienvenue au club, à ceux qui ne font rien de spécial ...
    ♥ Bisoux ♥

    Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ dom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

    36
    Mercredi 23 Décembre 2015 à 22:07
    Coucou ! Passe de Joyeuses Fêtes de Noël.....Bisous
    35
    Mercredi 23 Décembre 2015 à 18:21

    Bonsoir Marithé

    Tu es une femme au grand coeur !

    Tous les ans je participe à l'aide de cette collecte pour les enfants malades et cela me réjouit.

    J'espère que ta santé s'améliore

    Et hop je te fais plein de gros bisous et je te souhaite un très bon noël, le père Noël fait des miracles !

    @lain

    34
    Mardi 22 Décembre 2015 à 07:47

    ❤ j'espère que tu vas bien ..... !!!

    33
    Mardi 22 Décembre 2015 à 07:16

    Bon mardi, toujours en été ... ♫ ♪ •°♫ ♪
    ♥ Bisoux ♥

    dom, un peu à la bourre !

    32
    Dimanche 20 Décembre 2015 à 22:08
    Très bonne soirée en ce dimanche !!! bises Je reviens sur over-blog
    31
    Dimanche 20 Décembre 2015 à 07:03

    Bonjour, Marithé
    Je m'absente demain ... petit contrôle technique.
    Bon dimanche et à mardi.
    ♥ Bisoux ♥

    Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ dom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

    30
    Vendredi 18 Décembre 2015 à 09:55

    on prépare sérieusement le départ sur Bordeaux.

    Passe de bones fêtes de fin d'année en famille,

    soyez heureux.

    A bientôt.

    Bises Marithénounette.

    On t'aime.

    29
    Vendredi 18 Décembre 2015 à 06:50

    Bonne fin de semaine, en attendant ... l'année prochaine.
    ♥ Bisoux ♥

    Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ dom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

    28
    Jeudi 17 Décembre 2015 à 09:17

    Chsais pas si le Père Noël,

    va pas venir en bermudas.

    Bises Marithénounette.

    27
    Mercredi 16 Décembre 2015 à 10:00

    beau temps sec.

    Bises Marithénounette.

    26
    Mercredi 16 Décembre 2015 à 06:34

    Bonjour, Marithé
    Un peu pressée ... et excitée : je vais essayer de nouvelles chaussures orthopédiques qui me permettront de retrouver la position verticale et, peut-être, marcher de nouveau !
    Bon mercredi automnal.
    ♥ Bisoux ♥

    Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ dom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

    25
    Mardi 15 Décembre 2015 à 09:51

    Ça chauffe.

    Bises Marithénounette.

    24
    Mardi 15 Décembre 2015 à 07:02

    Bon mardi, toujours en douceur ... pluvieuse !
    ♥ Bisoux ♥

    Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ dom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

    23
    Lundi 14 Décembre 2015 à 18:40

    coucou ma copinette 

    pas eu le courage de chercher une image 

    j'avais oublié ma morphine hier soir , alors aujourd'hui dur dur 

    j'ai beaucoup dormi avec Fripouille , et 1 de plus !

    gros bisous

    bérozzz

      • Lundi 14 Décembre 2015 à 20:00

        hihi il faudra agrandir le lit ?

    22
    Lundi 14 Décembre 2015 à 17:34

    je l'ai mis sur ma page Facebook ! bonne soiree bises

    21
    Lundi 14 Décembre 2015 à 12:07

    coucou

    Belle image ...
     
    bonne journée

    bisousssssssssssssss

    20
    Lundi 14 Décembre 2015 à 09:32

    Bises Marithénounette.

    19
    Lundi 14 Décembre 2015 à 09:22

    Kikou

    Merci de ton passage sur mon blog. Je suis aussi inscrit au Noel magique et j'ai fait un lien. C'est bien !

    Je suis heureux que tu m'annonce que ça se stabilise, plutôt que le mauvais contraire, tu vois ce que je veux dire.

    Je  te fais plein de gros bisous

    Prend soin de toi surtout

    @lain

    18
    Lundi 14 Décembre 2015 à 06:34

    Bon début de semaine, en attendant des jours meilleurs ...

    ♥ Bisoux, Marithé ♥
    Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ dom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

    17
    Dimanche 13 Décembre 2015 à 14:40

    coucou

    un gif gourmand de noel chez babouchka

    bonne journée

    bisousssssssss

    16
    Dimanche 13 Décembre 2015 à 14:12

    bonne idée, je participe, bon dimanche, bises

    15
    Dimanche 13 Décembre 2015 à 10:18

    Bises Marithénounette.

    14
    Dimanche 13 Décembre 2015 à 05:44

    Bonjour,
    Dom est fatiguée, alors, je prends le relais (En copier/coller) pour vous remercier de vos souhaits pour mon anniversaire.

    Nous le faisons aussi pour l'hôpital de Poitiers.
    Je vous souhaite un bon dimanche.
    ♥ Gros bisoux de nous pour vous ♥
    Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ thidom Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ

      • Dimanche 13 Décembre 2015 à 14:44

        bravo poitiers ..moi ce sera nantes   courage  dom et bisous pour vous deux

    13
    Sonya
    Dimanche 13 Décembre 2015 à 03:06
    C est Bien de penser aux enfants hospitalisés
    Je te souhaite un bon weekend
    Tibo
    12
    Samedi 12 Décembre 2015 à 23:53

    Merci pour eux ma copinette ! Plein de gros bisousssSSS. Douce nuit.

    11
    Samedi 12 Décembre 2015 à 18:11

    Hello Marithé

    J'ai participé pendant des années avec Harley...Malheureusement il y a un certain moto gang pour se faire passer pour des gentils s'occupe du Noel a l'hôpital chez nous. C'est incroyable que les autorités locales ont de la merde dans les yeux comme ça ? On sait tous ce qui font ces anges de l'arnaque.

    bizz

    Pat

      • Samedi 12 Décembre 2015 à 21:21

        comme partout il y a des gens qui ne respectent rien ...

    10
    Samedi 12 Décembre 2015 à 14:59

    Bonjour marthé
    c'est déjà fait pour moi et c'est le CHU de Dijon comme tous les ans
    Épais brouillard en val de Saône
    Je te souhaite de passer  une bonne  journée et un agréable week-end
    bisoussssss

      • Samedi 12 Décembre 2015 à 21:21

        merci nénette

         

    9
    Samedi 12 Décembre 2015 à 13:04

    coucou

    le redoux est de nouveau ici

    bisousssssssssss

    8
    Samedi 12 Décembre 2015 à 12:44

    J'ai déjà cliqué pour les enfants malades du CHU de Nantes.... Je clique chaque année. Bisous

      • Samedi 12 Décembre 2015 à 13:42

        merci ma martine, nantes aussi pour moi

         

    7
    H-IL
    Samedi 12 Décembre 2015 à 12:20
    Pis un grand vieux enfant hospitalisé ?
    Gros bisous ma Marithénounette
      • Samedi 12 Décembre 2015 à 13:42

        pas de problème hihi

         

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